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vendredi 27 décembre 2013

Citations de Le Journal du Capitaine Wentworth de Amande Grange

Couverture Le Journal du Capitaine Wentworth de Amanda Grange

Citations à ne pas lire si vous n'avez pas lu le livre. J'ai mis ici toutes les citations qui m'ont plus dans ce livre et donc des citations qui peuvent révéler le dénouement de cette histoire.

- La guerre a rendu possible pour les hommes talentueux et ambitieux de conquérir une place dans le monde, et je compte bien saisir cette occasion de faire fortune.
(Vendredi 6 Juin 1806)

- Si vous insistez, on dit que Miss Welling est très jolie, et que Miss Elliot est belle. Toutefois, elle est la fille d'un baronnet, et je doute qu'elle ait seulement mis les pieds dans une cuisine une fois dans sa vie. Elle ne vous accordera pas la moindre attention, commandant ou pas. Vous ne serez pas digne de son intérêt.
(Vendredi 6 Juin 1806)


- C'est un peu fort, quand il n'est rien de plus qu'un baronnet. Je n'ai pas envie de fréquenter ce genre d'individus. Ils ne font rien d'utile, mais se donnent des grands airs à cause des hauts faits de leurs ancêtres. Ils appartiennent au passé.
- Alors j'espère que vous le lui direz, afin de ruiner ma réputation dans le voisinage, persifla Edward.
- N'ayez crainte, je n'ai pas entièrement perdu mes manières ni mon bon sens, dans la Marine. Mais je m'accorde le droit de ne pas en penser moins pour autant.
(Vendredi 6 Juin 1806)

En m'éloignant d'elle, je résistai au désir de me retourner, bien que la tentation soit grande. J'avais envie de la voir, avec sa robe en mousseline aux motifs végétaux, son châle drapé sur les bras, le soleil jouant sur ses cheveux. Je voulais aussi - qu'il me soit permis de l'avouer ici! - savoir si elle me suivait des yeux.
(Vendredi 13 Juin 1806)

- Ah, je saisis, elle pense que mes intentions ne sont pas honorables, déclarai-je en comprenant la raison de ses regards noirs.
- Au contraire, elle craint qu'elles ne le soient que trop. Elle veut que sa filleule épouse mieux qu'un commandant.
(Mardi 29 Juillet 1806)

Pourtant, même si je ressens toujours le désir de recevoir les embruns sur mon visage, je suis de plus en plus réticent à l'idée de quitter la région, car Miss Anne prend chaque jour davantage d'importance à mes yeux.
Je ne me doutais pas que je rencontrerais une telle jeune fille lorsque je suis venu à Monkford, car qui s'attendrait à ce qu'un semblable joyau soit enterré à la campagne? Ou à ce que ce soit moi qui sache l'illuminer de joie?
(Samedi 9 Août 1806)

- Je suis trop jeune pour un tel engagement, et il me reste trop à voir dans le monde. Quant aux permissions, je peux séjourner chez mon frère.
- Ce n'est pas aussi confortable que de rentrer auprès de son épouse.
- C'est vrai, mais il est aussi moins difficile de quitter son frère quand la permission s'achève.
(Mardi 19 Août 1806)

- Que me chantez-vous là? Un homme qui a capturé des vaisseaux français ne peut se passer de la compagnie d'une fille de dix-neuf ans? Il suffit de vous éloigner, et l'affaire sera réglée!
- Vous ne comprenez pas. Non seulement je ne peux renoncer à elle, mais en outre je ne veux pas renoncer à elle, déclarai-je, prenant conscience des sentiments qui avaient grandi en moi depuis que j'avais fait sa connaissance. Je n'aurais jamais cru rencontrer une femme comme elle: un esprit tellement supérieur, un goût si raffiné, un coeur tellement ouvert; des cheveux si soyeux, des yeux si vifs, une peau si douce, une contenance si charmante; sa voix, son sourire... En un mot, Edward, je l'aime.
Il me regarda avec inquiétude.
- Vous avez montré des attentions à de nombreuses demoiselles autrefois, mais je ne vous avais jamais entendu déclarer que vous étiez amoureux. C'est sérieux, alors?
- Oui. Je ne puis vivre sans elle, et j'ai l'intention de lui demander d'être ma femme.
(Vendredi 29 Août 1806)

- Je ne puis me taire plus longtemps, déclarai-je brusquement. Je vous ai contemplée pendant toutes ces semaines... j'ai parlé avec vous... dansé avec vous... été transporté par vous... je ne peux continuer sans savoir... Anne, ma bine-aimée... Je vous aime, soupirai-je en lui prenant les mains. Je vous ne prie, dites-moi... mettez un terme à mes souffrances... m'aimez-vous aussi?
Elle rougit, baissa la tête, murmura des paroles que je n'entendis pas, leva les yeux et posa sur moi un tel regard que mon coeur s'arrêta. Je reculai pour mieux la contempler, portai ses mains à mes lèvres, et songeai que j'étais le plus heureux des hommes.
- Anne, voulez-vous m'épouser?
Elle sourit et rougit.
- Oui, Frederick.
"Oui, Frederick!" Jamais deux mots n'avaient retenti si agréablement à mes oreilles.
(Samedi 30 Août 1806)

- Ah, eh bien, si vous m'aviez demandé Elizabeth, je vous aurais congédié, mais comme il s'agit d'Anne...
Je dus faire un nouvel effort pour me contrôler. "Seulement d'Anne", en vérité! "Seulement d'Anne".
- Oui, bon, très bien, vous avez ma permission, déclara-t-il avec lassitude avant de sonner. Le commandant Wentworth s'en va, annonça-t-il au domestique.
(Samedi 6 Septembre 1806)

- Vous ne pouvez pas vouloir rompre votre serment? demandai-je, mon courage vacillant. Dites-moi que ce n'est pas vrai...
- Frederick...
- Je croyais que vous m'aimiez.
Je me sentis déchiré par ces mots en les prononçant.
- C'est vrai, répliqua-t-elle avec passion. Je vous aime, mais...
- Mais pas assez! rétorquai-je sans pouvoir dissimuler mon chagrin.
- Ce n'est pas cela.
- C'est au contraire exactement cela. Vous ne m'aimez pas assez pour vous opposer à votre famille et à vos amis, pour suivre votre coeur où qu'il vous conduise, même si c'est au bout du monde.
- Frederick...
Assez, dis-je, blessé comme jamais je ne l'avais été, même lors des batailles. Vous vous êtes exprimée clairement. Vous ne pouvez m'épouser. Très bien. Je ne vous demanderai pas d'être fidèle à votre parole. Je ne veux pas d'une épouse réticente. Nos fiançailles sont rompues.
(Mercredi 10 Septembre 1806)

- Pardonnez-moi, lady Russell, mais je suis amer. Quand un homme a perdu ce qui lui était le plus cher, par la faute d'autres que lui, il en a le droit. Anne ne m'aurait jamais repoussé si vous ne vous en étiez pas mêlée.
(Mercredi 10 Septembre 1806)

- Jamais je n'épouserai une femme qui n'a pas confiance en moi, et qui est inconstante. Une parole, une fois donnée, doit être tenue. La loyauté, le courage et la détermination, voilà les valeurs auxquelles je crois. Anne les partageait, du moins je le pensais. Mais je me trompais, car ce n'est pas le cas, conclus-je avec désespoir.
(Mercredi 10 Septembre 1806)

Donc, elle ne s'était pas mariée, et cela n'avait rien d'étonnant, car sa beauté s'était envolée. L'éclat de ses joues; la lumière de ses yeux; tout cela avait disparu. Elle se tenait voûtée, et elle était, en réalité, si usée que je n'aurais jamais cru possible qu'elle change autant en huit ans.
(Samedi 15 Octobre 1814)

- Je suis prêt à me marier sur un coup de tête. Un peu de beauté, quelques sourires, une ou deux flatteries sur la Marine, et je suis perdu. Un marin, qui a perdu ses bonnes manières par manque de compagnie féminine, ne devrait-il pas se satisfaire de cela?
(Samedi 15 Octobre 1814)

Je lançai un regard furtif à Anne, même si je me demande bien pourquoi j'éprouve encore des émotions si vives au sujet d'une histoire vieille de huit ans.
(Samedi 5 Novembre 1814)

Benjamin joignit sa voix à celle de son épouse et j'aidai Anne à monter en voiture. En touchant sa main, je sentis tout le pouvoir de mes anciennes émotions. Je me souvins des autres fous où je l'avais tenue, alors que nous dansions, marchions, et nous enlacions. Je ne comprenais plus comment nous pouvions sembler aussi étrangers l'un à l'autre.
Avais-je eu tort de partir, en 1806? Avais-je eu tort de ne pas revenir? Etait-ce une erreur de ne pas lui avoir écrit, en 1808, lorsque j'avais acquis quelques milliers de livres? J'avais été retenu par la fierté, et par la crainte d'être repoussé de nouveau. Si j'avais fait taire ma vanité et mon angoisse, les six années qui venaient de s'écouler auraient-elles été différentes?
(Samedi 5 Novembre 1814)

Le temps passa agréablement, et, lorsque mes yeux se posaient sur Anne comme cela m'arrive si souvent, je retrouvais le signe de son ancienne vivacité, car elle était engagée dans une conversation animée avec Harville. Elle avait les yeux brillants, et je m'aperçus que son esprit était resté semblable, car chaque phrase qu'elle prononçait aurait pu être mienne.
Une fois encore, j'étais partagé entre le désarroi qu'elle m'ait rejeté, la colère contre moi-même pour ne pas lui avoir écrit en 1808, et l'espoir qu'elle pourrait encore m'aimer.
(Jeudi 10 Novembre 1814)

J'adressai à peine la parole à Anne, car je ne savais que lui dire. Je ne pouvais l'entretenir de sujets privés alors que nous étions ainsi entourés, et pourtant j'avais du mal à supporter de ne pas m'adresser à elle.
Pendant tout le dîner, je pensai à elle, et lui jetai un regard furtif chaque fois que je le pouvais. A quoi songeait-elle? Que ressentait-elle? Je brûlais de lui parler après le repas, mais Harville et Benwick vinrent nous rendre une visite impromptue, et je n'en eus donc pas l'occasion.
(Jeudi 10 Novembre 1814)

Nous étions sortis depuis quelques minutes lorsque nous aperçûmes Anne et Henrietta. Anne resplendissait. Le vent frais avait ravivé la couleur de ses joues et l'éclat de ses yeux, et elle avait retrouvé l'apparence d'il y a huit ans, quand je l'avais rencontrée. Je perdis conscience de tout ce qui m'entourait et restai perdu et silencieux, sans rien voir ni entendre à l'exception d'Anne. Elle riait, car le vent rabattait ses cheveux sur son visage, et je la vis lever la main pour repousser une mèche folle qu'elle coinça derrière son oreille. Nos yeux se rencontrèrent. Combien de temps nous restâmes ainsi, je l'ignore, mais cela me sembla trop court. Je buvais du regard ses yeux sombres et doux, son visage rieur, ses doux cheveux bruns. J'étais comme hypnotisé.
(Vendredi 11 Novembre 1814)

Anne, toujours Anne, qui, toujours discrète, faisait preuve de force lorsqu'il fallait prendre des décisions rapides et les appliquer avec calme. J'avais essayé de l'oublier, mais cela s'était avéré impossible, car elle était supérieure à toute autre femme que j'aie pu rencontrer.
(Vendredi 11 Novembre 1814)

J'étais retourné à terre après ma première victoire, et j'avais été tenté d'écrire à Anne afin de lui annoncer ma bonne situation et de lui demander de nouveau sa main. J'étais allé jusqu'à saisir ma plume, mais le chagrin et le doute m'avaient assailli, et je leur avais cédé. La fierté, la dignité blessée, la peur qu'elle ne m'ait oublié, de me couvrir de ridicule, d'être une nouvelle fois rejeté... tout cela m'avait retenu. Mais si j'avais dominé mes craintes, si j'avais écrit comme je le désirais, alors qu'aurait-elle répondu? Aurait-elle accepté?
(Mardi 6 Décembre 1814)

Mais si elle ne m'aimait plus, pourquoi ne s'était-elle pas mariée?
(Mercredi 14 Décembre 1814)

Après avoir imaginé notre rencontre d'innombrables fois, je ne l'avais jamais envisagée comme ceci, car jamais je n'avais pensé la croiser par hasard. Tous les discours que j'avais répétés s'effacèrent de mon esprit et je restai planté là, à la dévisager, tandis qu'un flot d'émotions déferlait en moi: surprise de la voir ici, soulagement de l'avoir trouvée, plaisir à être avec elle et déception qu'elle ne soit pas seule.
(Jeudi 16 Février 1815)

Me maudissant moi-même intérieurement, je me demandai où et quand j'étais devenu un tel poltron. Jamais je n'ai eu peur de mener un vaisseau au combat; mais parler à Anne, découvrir si oui ou non elle m'aimait encore... Cela me terrifiait.
(Vendredi 17 Février 1815)

- Un homme ne se relève pas après avoir été aussi dévoué à une telle femme! Il ne devrait pas... Il ne s'en remet pas.
(Mardi 21 Février 1815)

- Nous ne vous oublions certainement pas aussi vite que vous nous oubliez. C'est sans doute notre fardeau plus que notre mérite.
(Samedi 25 Février 1815)

Je ne peux écouter plus longtemps en silence. Je dois vous parler par les seuls moyens qui se présentent à moi. Vous me transpercez le coeur. Je suis déchiré entre souffrance et espoir. Dites-moi qu'il n'est pas trop tard, que des sentiments si précieux ne sont pas éteints à jamais.
Tout en écrivant, je continuais à entendre des mots qui me terrassaient.
(...)
Je vous offre de nouveau ma vie, et mon coeur vous appartient encore plus que lorsque vous l'avez presque réduit à néant, il y a huit ans et demi. Vous n'oserez pas dire que l'homme oublie plus vite que la femme, que son amour meurt plus tôt. Je n'ai jamais aimé personne d'autre que vous.
(...)
A chacun de ses mots, je sentais s'accroître ma conviction qu'elle ne m'avait pas oublié, qu'elle m'aimait encore, car autrement, que signifiaient ses propos sur les secrets que l'on ne peut pas trahir?
Injuste, je l'ai peut être été, faible et plein de rancoeur sans aucun doute, mais jamais inconstant. C'est pour vous seule que je suis venu à Bath. Pour vous seule que je pense et que j'agis. Ne vous en êtes-vous pas aperçue? Se peut-il que vous n'ayez pas compris mes voeux?
(...)
- Dieu me garde de sous-estimer les sentiments tendres et fidèles de quiconque! Je ne mériterais que mépris si j'osais supposer que le véritable attachement et la constance n'appartiennent qu'aux femmes.
Ainsi, elle savait que les hommes pouvaient être constants! Et le sachant, elle devait savoir que je l'étais moi-même!
Je lui répondis sur ma feuille, puisque je ne pouvais le faire de vive voix:
Je n'aurais même pas attendu pendant les dix jours qui viennent de s'écouler, si j'avais pu lire vos sentiments comme je crois que vous avez compris les miens. C'est à peine si je parviens à écrire. Chaque mot que j'entends me submerge. Vous parlez bas, mais je perçois les nuances de votre voix que les autres ne peuvent entendre. Vous êtes trop bonne, trop admirable! Vous nous faites justice, en vérité. Vous pensez que l'attachement véritable et la constance sont possibles de la part des hommes. Croyez bien qu'ils sont les plus fervents et les plus indéfectible chez...
F.W.
(Samedi 25 Février 1815)

- Je vous crois capables de tout ce qui est peut -être grand ou bon dans votre vie maritale. Je vous crois capables de beaucoup de travail et de patience aussi longtemps que... si vous me permettez l'expression, aussi longtemps que vos sentiments ont un objet. Je veux dire tant que la femme que vous aimez dit, et qu'elle vit pour vous. La seule qualité que je reconnais à mon sexe plutôt qu'au vôtre - et elle n'est guère enviable - est d'aimer plus longtemps, quand l'être cher n'est plus ou que l'espoir est mort!
(Samedi 25 Février 1815)

- Je ne serai pas tranquille... Je ne peux être rassuré... Anne, dites-moi, puis-je espérer? demandai-je, le souffle court.
- Oui, vous pouvez espérer, et plus encore, me répondit-elle d'une voix aussi haletante que la mienne. J'ai eu tellement tort...
(Samedi 25 Février 1815)

- Je vous ai déjà demandé une fois si vous vouliez être ma femme. Je vous le demande de nouveau. Anne, voulez-vous m'épousez?
- Oui.
Une inquiétude me saisit soudain.
- Il ne faut pas craindre que je change d'avis, me rassura-t-elle. A l'époque, j'étais une toute jeune fille. Je me suis laissé persuader par des amis qu connaissaient mieux le monde que moi et qui m'ont dit que ce mariage ferait notre malheur; que je serais un fardeau pour vous; que nous ne seriez pas libre de poursuivre vos objectifs; que vous vous trouveriez frustré dans vos ambitions par ma faute; que vous en viendriez à regretter votre décision; et que, rongée par l'angoisse, je regretterais également la mienne. A présent, je suis une femme qui connaît son coeur et son esprit, ainsi que les vôtres. Je n'ai ni craintes ni appréhensions, et je ne laisserai personne me persuader de renoncer à mon bonheur futur.
(Samedi 25 Février 1815)

3 commentaires:

  1. J'ai très envie de le lire ce roman. Merci pour les citations :)

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    Réponses
    1. Je te le conseille vivement! Je ne sais pas si tu as le livre de Jane Austen dont ce journal est dérivé, mais que tu l'ais lu ou pas je te conseille celui-ci! Si tu as lu Persuasion, eh bien c'est un bon dérivé qui te permet d'en apprendre un peu plus sur le capitaine Wentworth (mon héros Austenien préféré!!), et si tu ne l'as pas lu, eh bien c'est une bonne romance historique, qui te donnera sûrement envie de lire l'original!!

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  2. Moi qui suis une grande fan de Jane Austen, j'ai longtemps hésité à lire les livres dérivés...mais je crois que je vais me laisser tenter cette année grâce à ton article ! Après tout, j'ai bien lu le Journal de Bridget Jones (oui, oui on y fait bien allusion à Jane Austen...si si..je vous promets...)

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