Citations à ne pas lire si vous n'avez pas lu le livre. J'ai mis ici
toutes les citations qui m'ont plus dans ce livre et donc des citations
qui peuvent révéler le dénouement de cette histoire.
L'autre problème de ma vie est Dimitri. C'est lui qui a tué Natalie. C'est un véritable dieu du combat et il est plutôt beau gosse. D'accord: vraiment beau gosse. En fait, c'est le genre de canon qu'on s'arrête pour regarder passer avant de se faire renverser par une voiture. Mais, comme je l'ai déjà dit , c'est mon mentor. Et il a vingt-quatre ans. Ces deux arguments auraient dû m'empêcher de craquer pour lui. Pourtant, en vérité, une seule raison me retient de lui sauter dessus: nous allons tous les deux devenir les gardiens personnels de Lissa après ses études. Si nous passons notre temps à veiller l'un sur l'autre, nous ne pourrons pas la protéger.
(Prologue)
Au fait, je m'appelle Rose Hathaway. J'ai dix-sept ans, je m'entraîne à protéger et tuer des vampires, je suis amoureuse d'un homme qui devrait m'inspirer de tout autres sentiments, et ma meilleure amie a des pouvoirs qui menacent de la rendre folle.
Personne n'a dit qu'il était facile d'être lycéenne.
(Prologue)
- Est-ce que c'est loin?
Je priai en silence pour que le trajet soit vraiment très long... mettons une semaine. Tant qu'à faire, je priai aussi pour que nous ayons besoin de passer des nuits dans de luxueuses chambres d'hôtel, ou alors pour qu'une avalanche bloque la route et nous force à échanger la chaleur de nos corps pour rester en vie.
(Chapitre 1)
- Tu sais ce qui aiderait? demandai-je en continuant à fuir son regard.
- Quoi?
- Que tu coupes cette horreur musicale pour nous mettre quelque chose qui aurait été enregistré après la chute du mur de Berlin...
Il éclata de rire.
- Comment fais-tu? C'est en histoire que tu as les plus mauvaises notes et tu sembles tout savoir sur l'Europe de l'Est...
- C'est que j'ai besoin de matière pour mes blagues, camarade.
(Chapitre 1)
Lissa et moi étions amies depuis toujours et j'avais le pouvoir de lire dans son esprit... Pourtant, je devais me rendre à l'évidence: Christian avait pris une place considérable dans son monde et y jouait un rôle que je ne pouvais pas prendre à ma charge, tout comme il lui était impossible d'assumer le mien. Nous acceptions cette situation, aussi contrariés l'un que l'autre de devoir nous partager les attentions de Lissa, ce qui rendait assez fragile la trêve que nous avions conclue pour son bien.
(Chapitre 2)
- Je me suis entraînée avec Dimitri.
- Ce salaud ne te lâche pas d'une semelle, grommela-t-il. A-t-il conscience qu'il nous prive de tes charmes?
- Mon beau sourire? Mes charmes? Tu ne trouves pas que tu en fais trop, ce matin? m'écriai-je en riant.
- Je suis seulement sincère, se défendit-il. Tu devrais te féliciter que quelqu'un d'aussi beau et aussi intelligent que moi s'intéresse à toi...
(Chapitre 3)
Je lui jetai mon regard le plus féroce qui, à en juger par sa réaction, ne devait pas l'être tant que cela. Neuf fois sur dix, je quittais Dimitri en pensant qu'il était l'homme le plus sexy de la terre. Et puis il y avait les dixièmes, comme ce matin...
(Chapitre 3)
- Merde! répétai-je.
- Surveille ton langage! lança-t-elle avec hargne. Puisque ton comportement témoigne déjà de ton manque de manières, essaie au moins de parler correctement.
(Chapitre 6)
- Qui se serait douté que les Moroï avaient leur propre Roswell et leur Zone 51? Je suis surprise qu'on ne m'y ait pas déjà enfermée pour étudier notre lien.
(Chapitre 7)
- Qu'as-tu besoin d'entendre? Je le dirai.
Il ouvrit le deuxième bouton.
- Il n'y a rien que j'aie besoin d'entendre! se défendit-elle en riant tandis qu'un nouveau bouton sautait. Tu peux me dire tout ce que tu veux. Je préférerais seulement que ce soit vrai.
- La vérité, c'est ça? Mais personne ne veut entendre la vérité! Elle n'est jamais séduisante. En revanche, toi... (Le dernier bouton vaincu, il écarta le chemisier de sa poitrine.) Tu es bien trop séduisante pour être vraie.
(Chapitre 8)
- Ne crois-tu pas que cette période de l'année soit le moment idéal pour pardonner?
Je soupirai bruyamment.
- Ce n'est pas un conte de Noël! On parle de ma vie, là. Les miracles et la bonté n'existent pas dans le monde réel.
- Dans le monde réel, chacun peut faire ses propres miracles, répliqua-t-il sans rien perdre de son calme.
(Chapitre 8)
- C'est faux, déclarai-je. Tu fais bonne figure, et tu maîtrises effectivement tes émotions la plupart de temps. Mais parfois tu n'y arrives pas et parfois... (je m'appuyai à lui et baissai la voix)... tu n'en as pas envie.
- Rose...
Il avait le souffle court et je savais que son coeur battait aussi vite que le mien. Surtout, il ne s'écartait pas. J'étais consciente que j'agissais mal et je connaissais toutes les raisons pour lesquelles nous ne devions pas nous approcher l'un de l'autre. A cet instant, je m'en moquais éperdument. Je n'avais envie ni de me contrôler, ni de prouver que j'étais raisonnable.
Je l'embrassai sans lui laisser le temps de comprendre ce qui lui arrivait. J'aurais eu tort de ne pas le faire, puisqu'il me rendit mon baiser. Il me pressa contre le mur en maintenant mon bras, et glissa son autre main dans mes cheveux. Son baiser trahissait des émotions intenses: de la colère, de la passion, du soulagement...
(Chapitre 8)
- Je ne vais certainement pas le garder pour moi. Il est fait pour être porté par un gardien. Mon gardien.
J'enroulai le chotki autour de mon poignet et frissonnai au contact du métal froid de la croix.
- Tu sais qu'il y a de bonnes chances qu'on me renvoie de l'académie avant que je devienne ta gardienne, blaguai-je.
- Tu n'auras qu'à me le rendre à ce moment-là, répondit-elle en souriant.
(Chapitre 9)
- La sueur n'a rien de répugnant, répliqua-t-il en appuyant la tête contre le mur, le regard songeur. Certaines des choses les plus agréables de l'existence se font en transpirant. Bien sûr, s'il y en a trop et qu'on la laisse aigrir, ça devient assez désagréable. Mais sur une belle femme? C'est enivrant. Si tu pouvais sentir les choses avec l'acuité d'un vampire, tu comprendrais ce que je veux dire. La plupart des gens gâchent tout en s'inondant de parfum. Le parfum a des vertus... surtout si on trouve celui qui convient le mieux à notre odeur personnelle. Mais il ne faut en mettre qu'une goutte... Disons vingt pour cent de parfum mêlés à quatre-vingt pour cent de transpiration... (Il inclina la tête sur le côté pour me regarder.) Voilà le cocktail le plus sexy...
(Chapitre 9)
- Je suis impatient de te revoir, Rose Hathaway! Si tu es si charmante quand tu es fatiguée et contrariée, et si sexy en vêtements de ski avec un coquard, tu dois être dévastatrice quand tu es en pleine forme.
- Si par "dévastatrice" tu entends que tu devrais avoir peur pour ta peau, alors oui, tu as raison, ripostai-je en ouvrant la porte. Bonne nuit, Adrian.
(Chapitre 10)
- Parfait! m'écriai-je. Je suis certaine que vous allez être très heureux ensemble! Et puis elle est ton genre de femme, puisque je sais à quel point tu aimes celles qui ne sont pas de ton âge... Elle a quoi? Six ans de plus que toi? Sept? Exactement comme j'en ai sept de moins...
- Oui, répondit-il après un court silence. Et chaque seconde de cette conversation me prouve à quel point tu es jeune.
(Chapitre 13)
Je ne pus m'empêcher de m'émerveiller des émotions que le seul fait d'être assise à côté de lui faisait naître en moi. C'était si bon d'être avec lui... Jamais la présence de Mason ne me procurait un tel bien-être. Alors je pris brusquement conscience qu'on ne pouvait pas forcer l'amour. Il était là ou n'y était pas. S'il n'y était pas, il fallait avoir le courage de d'admettre. S'il y était, il fallait tout faire pour protéger ceux qu'on aimait.
(Chapitre 17)
- Mais... pourquoi? C'était une occasion unique... Tu aurais pu avoir un enfant... Et elle... tenait à toi...
Un fantôme de sourire de dessina sur ses lèvres.
- C'est vrai. C'est la raison pour laquelle je devais refuser. Je ne pouvais pas lui donner ce qu'elle voulait. Pas alors que... (il s'approcha de moi)... mon coeur est ailleurs.
Je faillis recommencer à pleurer.
- Pourtant tu t'entendais si bien avec elle... Et tu n'as pas cessé de me répéter à quel point j'agissais de façon puérile.
- Tu t'es comportée de manière immature parce que tu es jeune. Mais tu sais beaucoup de choses, Roza, des choses qui échappent à des gens plus âgés que toi. Ce jour-là... (Je compris tout de suite de quel jour il parlait: celui où je l'avais embrassé dans ce même gymnase...) Tu avais raison sur les efforts que je fais pour garder le contrôle de moi-même. Tu es la seule à t'en rendre compte, et ça me fait peur... Tu me fais peur.
- Pourquoi? Tu ne veux pas que ça se sache?
Il hausse les épaules.
- Que ça se sache ou non n'a aucune importance. Ce qui m'effraie, c'est que quelqu'un... que tu me connaisses si bien. Quand une personne peut lire dans notre âme, c'est difficile à vivre: on devient... vulnérable. Il est beaucoup plus facile d'être à l'aise avec un simple ami.
(Chapitre 24)
Lien vers ma chronique pour ce livre.
- Oui, répondit-il après un court silence. Et chaque seconde de cette conversation me prouve à quel point tu es jeune.
(Chapitre 13)
Je ne pus m'empêcher de m'émerveiller des émotions que le seul fait d'être assise à côté de lui faisait naître en moi. C'était si bon d'être avec lui... Jamais la présence de Mason ne me procurait un tel bien-être. Alors je pris brusquement conscience qu'on ne pouvait pas forcer l'amour. Il était là ou n'y était pas. S'il n'y était pas, il fallait avoir le courage de d'admettre. S'il y était, il fallait tout faire pour protéger ceux qu'on aimait.
(Chapitre 17)
- Mais... pourquoi? C'était une occasion unique... Tu aurais pu avoir un enfant... Et elle... tenait à toi...
Un fantôme de sourire de dessina sur ses lèvres.
- C'est vrai. C'est la raison pour laquelle je devais refuser. Je ne pouvais pas lui donner ce qu'elle voulait. Pas alors que... (il s'approcha de moi)... mon coeur est ailleurs.
Je faillis recommencer à pleurer.
- Pourtant tu t'entendais si bien avec elle... Et tu n'as pas cessé de me répéter à quel point j'agissais de façon puérile.
- Tu t'es comportée de manière immature parce que tu es jeune. Mais tu sais beaucoup de choses, Roza, des choses qui échappent à des gens plus âgés que toi. Ce jour-là... (Je compris tout de suite de quel jour il parlait: celui où je l'avais embrassé dans ce même gymnase...) Tu avais raison sur les efforts que je fais pour garder le contrôle de moi-même. Tu es la seule à t'en rendre compte, et ça me fait peur... Tu me fais peur.
- Pourquoi? Tu ne veux pas que ça se sache?
Il hausse les épaules.
- Que ça se sache ou non n'a aucune importance. Ce qui m'effraie, c'est que quelqu'un... que tu me connaisses si bien. Quand une personne peut lire dans notre âme, c'est difficile à vivre: on devient... vulnérable. Il est beaucoup plus facile d'être à l'aise avec un simple ami.
(Chapitre 24)
Lien vers ma chronique pour ce livre.
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